Bonne Saint-Valentin à tous <3

Pour l’occasion, on vous a déniché une histoire d’amour anglo-libanaise qui va vous faire fondre !

Caroline : « On s’est rencontré en 1976 à l’université. Jihad était venu en Angleterre pour faire ses études et on a tout de suite eu cette connexion très forte, ce « je ne sais quoi » qui me rendait si heureuse. Il était si romantique ! Il m’écrivait des lettres même s’il allait me voir le lendemain! Ah oui et c’était un incroyable danseur de disco !

La relation est devenue sérieuse. Jihad m’a invité au Liban pour rencontrer sa famille mais ses parents avaient d’autres aspirations pour lui. Ils voulaient quelqu’un du même milieu pour leurs fils. Je suis rentrée en Angleterre dévastée et j’ai eu une période très difficile où je passais mon temps à pleurer.

Je me suis réfugiée dans le travail et du coup j’ai mené une belle carrière, je me suis mariée, divorcée, mais en presque quarante ans je n’ai jamais oublié Jihad. J’ai même plusieurs fois essayé de le retrouver après mon divorce mais sans succès. Quand je composais son numéro je tombais sur quelqu’un en arabe qui me disait « Khalas Khalas », j’ai même cru qu’il était mort ! Jusqu’à ce coup de téléphone en 2013 ».

Jihad : « Cela faisait quatre ans que j’étais divorcé et je repensais à Caroline, elle a toujours été “The One”. Je voulais la recontacter. J’ai obtenu son numéro de téléphone par un ami d’ami, et je l’ai appelée. Quand je lui ai parlé, c’est comme si notre relation avait juste était mise sur « pause » pendant 40 ans. La complicité était toujours là, intacte.

Alors elle est venue me voir au Liban, je l’ai reprise voir ma famille, ma mère, mes enfants et je l’ai demandé en mariage une seconde fois. Elle m’a répondu qu’elle m’avait perdu une fois et qu’elle ne laisserait pas cela se reproduire 🙂 Nous nous sommes mariés le 31 août 2013.

Mon conseil aux jeunes générations : la vie est trop courte, profitez-en !»